Canton de Saint-Nazaire (44)

Figure 1 - Inventaire archéologique des cantons de Saint-Nazaire (44)

87 - Cantons de Saint-Nazaire
Avant-propos
Cette page essaie de faire l'inventaire des vestiges, traces ou objets archéologiques sur une échelle de temps allant de la période gauloise indépendante à la fin de l'empire romain d'occident, soit de la transition Bronze-Fer (800-600 av. J.C) jusqu'au début du Haut Moyen-âge (fin du Ve siècle, voir Chronologie).
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87 - Commune de Saint-Nazaire
Introduction
Cette commune est déjà occupée au Néolithique, de nombreuses fermes s'y établissent à l'Âge du Fer et y prospèrent comme semble l'indiquer les monnaies découvertes. La proximité avec la mer permet le développement du commerce du sel. Certains archéologues y voient l'ancien port de Corbilo disparu au IIe siècle avant J.C. A la Conquête Romaine, la région se développe de nouveau et un vicus apparaît sur la pointe à l'embouchure de la Loire, les quelques vestiges archéologiques et les textes des anciens en témoignent.
Vestiges gallo-romains
Il faut s'arrêter un instant sur les très nombreux augets à sel découverts sur la plage de la Rougeole près de Porcé [1, p. 196][2, p. 266][3, p. 57&165]. En effet pendant toute l'Antiquité et le Moyen-âge, le sel a été l'un des plus importants conservateurs d'aliments, sujet de nombreuses luttes, le premier motif de Rome à conquérir ses voisins, et de nombreux commerces, en témoignent les pièces d'or trouvées sur la commune. Si le sel pouvait se récolter juste en utilisant la chaleur du soleil dans le bassin méditerranéen, en Bretagne il était nécessaire d'utiliser une autre technique. La première technique mise en œuvre consistait à chauffer l'eau dans un four puis de la laisser s'évaporer. Pour cela, un potier installé sur le bord de mer façonnait avec les argiles marines des moules en terre cuite qu'on appelle auget [4]. Un saunier les remplissait d'eau de mer et faisait bouillir l'eau. Pour démouler les pains de sucre, on brisait le moule, hors d'usage les augets s'amoncelaient alors en petite buttes. La seconde technique plus économique et durable pour l'environnement n'apparaîtra qu'au moyen-âge [5, p. 338], elle utilise plusieurs bassins de salinité croissante de faible profondeur, un peu de soleil et beaucoup de vent.	(1902) Henri Quilgars. "La question des augets de terre découverts sur les côtes de la Bretagne armoricaine"(...) (1889) Léon Maître. "De l'emplacement de Grannona et des origines de Guérande"(...) (1977) Daniel Prigent. "Contribution à L'étude de la Transgression Flandrienne en Basse Loire - apport de L'archéologie"(...) (2013) "Auget à sel"(...) (1889) Léon Maître. "De l'emplacement de Veneda et des origines de Saillé"(...)
Certains mégalithes sont toujours des lieux de rassemblement pour des cérémonies, d'autres sont abandonnés ou réutilisés [6, p. 187]. C'est notamment le cas du Tumulus de Dissignac, réutilisé à l'époque Gallo-romaine comme site funéraire. On y a trouvé des traces d'incinération, des restes de céramique sigillée et puis tout une série d'objets brisés qui ont servi de remplissage pour occulter les deux entrées [7, p. 96][8, p. 122-124], dans un champ voisin une statuette de jeune femme.	(1889) Léon Maître. "De l'emplacement de Portus Brivatus"(...) (1883) Pitre De L'Isle. "Dictionnaire Archéologique, Arrondissement de Saint-Nazaire, 2nd partie"(...) (1873) René Kerviler. "Séance du 12 décembre 1873"(...)
On constate la même chose à la Bosse du Pez à Béac, Route du Cromlech, le site a été réoccupé à l'époque Gallo-romaine [7, p. 101-102], des briques à rebord au nord du tumulus, une monnaie romaine y a été découverte [9, p. 57, n°13]. De même au dolmen dit des Trois-Pierres, au centre ville actuelle Rue du Dolmen, on y a trouvé des pièces d'or, d'argent et de bronze [7, p. 93] et de nombreuses tegulae.	(1877) René Kerviler. "Statistique des monuments dits préhistoriques, mégalithiques et gallo-romains, de la presqu'île guérandaise"(...)
Au centre de la ville du XIXe des vestiges plus importants ont été découverts. D'abord il faut localiser l'ancienne place Marceau en lieu et place du centre commercial actuel Ruban Bleu entre les rues Marceau et De Saintonge. L'ancien Prieuré de Saint-Jean-Baptiste disparu/absorbé? (une tour pourtant épargnée par les bombardements) est situé au nord-est de la place Marceau soit à peu près au nord de la rue actuelle Des Caraïbes.
A la petite place des Préaux (disparue) située entre la place Marceau et la place du dolmen des Trois-Pierres (épargné), qui semble être une ancienne dépendance du Prieuré, Léon Maître a trouvé un "mur en petit appareil mélangé de briques et une place cimentée qui annonçait un grand édifice..." [2, p. 265][10], et aussi Pitre de L'Îsle qui signale "des débris de colonnes en pierre calcaire ornées de moulures élégantes...", "des tuiles, des briqués à rebord, des vases et des fragments d'urnes cinéraires..." [7, p. 106-107][11, p. 84]. On ne connaît pas l'usage du bâtiment dont on a découvert ces traces, peut être un fanum ou une villa [12, p. 34]. Cependant on peut penser qu'un vicus existait entre les Préaux et le quartier actuel du Petit Maroc au bord de l'estuaire, confirmant ainsi les dire de Grégoire de Tours de l'existence d'un vicus avant le VIe siècle [10][13, p. 268][14, p. 114].	(1887) Léon Maître. "Saint-Nazaire sous Clovis - Congrès archéologique de France : séances générales "(...) (1908) Léon Maître. "La Conquête de la Basse-Loire par le réseau des voies romaines"(...) (1978) André Chédeville. "La Loire-Atlantique à l'époque gallo-romaine"(...) (1845) Louis Jacques Marie Bizeul. "Voie Romaine de Blain à Saint-Nazaire"(...) (1893) Léon Maître. "De l'emplacement de Corbilon et des origines de St-Nazaire"(...)
Pitre de L'Îsle rapporte que L.J.M Bizeul a noté qu'on aurait trouvé au XVIIIe siècle non loin du dolmen des Trois Pierres des pièces de monnaies d'Auguste, Claude, Néron, Vespasien [7, p. 107]. Et que G. Blanchard a acheté à Saint-Nazaire un Quinaire d'Octave de 29 avant J.-C.
Si le vicus appelé Novio Dunum [15, p. 362], possède un retranchement qui surveille l'entrée de la Loire sur la pointe, actuellement le Petit Maroc, le site ne représente pas être un vrai mouillage pour les bateaux de haute-mer même et l'anse de Penhoët devait être déjà très envasée. Pendant tout l'ancien régime, le bourg de Paimboeuf sur l'autre rive de Loire servira de port avancé de Nantes jusqu'à son ensablement au début du XIXe. Et c'est avec le grand dessein de Napoléon III de faire du site un grand port à part entière que le passé ressurgit.	(1890) Léon Maître. "Question De Géographie Ancienne"(...)
De nombreux vestiges Gallo-romains témoins d'une occupation sont signalés par L. Maître à la Pointe du Château au bourg de Saint-Marc, et près de la pointe de l'Eve [5, p. 265][9, p. 57 n°14]. Au fond de l'Anse de Porcé [2, p. 265], L. Maître pense être en présence de vestiges d'une villa des IIe-IIIe siècles. Au bourg de l'Immaculée, Boyer à découvert en 1978 des fossés et des augets aux Virées-Emery [16], site occupé depuis l'Âge du Fer.	(2013) "Atlas culturel, atlas des patrimoines"(...)
La DRAC Pays de Loire [16] a identifié des sites d'occupation Gallo-romains route la Montagne près des Quatre-Vents, à Cormiers près de La Rejannerie occupé depuis l'Âge du Fer, à Gavy sur la route de Saint-Marc, et à La Vecquerie occupé depuis le Second Âge du Fer situé sur la route de Pornichet. Mais aussi un site occupé depuis le Néolithique au chemin de l'Île Gonon, une villa à Géreau sur le chemin de Villès-Créneau.
Corbilo ?
Lors du creusement du bassin de Penhoët, René Kerviler ingénieur en chef des travaux, et membre de la Société Archéologique de Nantes aurait découvert en 1876 l'estuaire fossile du Brivet [17], qui se jette aujourd'hui quelques deux kilomètres en amont. Bien qu'il commit une erreur sur le calcul de la durée de sédimentation de l'ancien lit, il est le précurseur selon Jean L'Helgouarc'h [18, p. 3-4], à défaut d'être l'inventeur de la datation géologique relative [19]. Kerviler a opéré ici ce qu'on appelle aujourd'hui une fouille de sauvetage. En effet tous les horizons ont été répertoriés et mesurés, le mobilier extrait a été classé et archivé pour la postérité, puisque Michelle Vieau [18] a pu en faire une expertise en 1982 aux vues des connaissances actuelles et des moyens de datation [18].	(1876) René Kerviler. "L'Age De Bronze Et Les Gallo-Romains Saint-Nazaire-Sur-Loire"(...) (1982) Michelle Vieau. "Etudes du matériel archéologique du bassin de Penhoët"(...) (2013) "Le chronomètre préhistorique de Saint-Nazaire"(...)
L'étude de 1982 du mobilier confirme une occupation continue de la baie de Penhoët du Néolithique au IIIe siècle après J.-C., attesté par la découverte d'un petit buste de Tétricus (268 ou 271-274) trouvé par Kerviler. Quelques notices du mobilier trouvé est disponible sur le site Joconde du Ministère de la Culture et Des Communications ou bien sur le site Grand Patrimoine de Loire-Atlantique.
Kerviler a commis des erreurs par méconnaissance à son époque de la vitesse de sédimentation et des variations du niveau de la mer dues aux glaciations (Würm) et aux réchauffements [20]. En effet le fond de la baie de Penhoët était à -4m sous le niveau des basses mers actuelles au Bronze final, à -3m à la Tène et de -1,5m au IIIe siècle après J.-C. [18, p. 21-22].	(1990) Lionel Visset. "8000 ans en Brière"(...)
Donc les populations de -600 à +274 vivaient bien au bord de la baie, les objets trouvés n'ont été jetés, ni ont chuté accidentellement dans la mer [18, p. 21-22]. Il faut donc revoir la carte réalisée par Kerviler qui localise le mobilier et qui indique l'axe de la paléo-vallée [17, p. 286], probablement au moment des glaciations. Vieau penche plutôt pour un exutoire indépendant du Brivet alimenté par de l'eau du marais de Brière qui passait entre les buttes de Prézégat et de Savine, certainement alimenté aussi par la rivière du Guindreff.
L'estuaire devait être bien plus étroit et le faible débit explique que son lit ait été envahi par les vases marines et les sables ligériens très rapidement. Contrairement au Brivet qui prend sa source sur le plateau Armoricain entre Campbon et Quilly, son débit plus important empêche les vases de colmater son estuaire.
Kerviler s'est engagé dans une fouille de sauvetage uniquement après la découverte du premier crâne, aussi on peut penser que du mobilier est parti à la décharge avant et est perdu irrémédiablement [18, p. 29-31]. A part une pierre d'ancrage de bateau [18, p. 13-14], rien ne permet de prouver qu'un port important était situé ici, on n'a pas trouvé de bâtiments ou de quais en pierre comme à Rezé (44), ou en bois comme à Chelles (77).
L'hypothèse que Léon Maître fît en 1890 [15, p. 360-364] de situer l'antique port de Corbilo, concurrent de Massalia, dans l'ancien exutoire de l'anse de Penhoët se tient peut-être. L'ensablement et envasement aurait fait disparaitre ce port en quelque siècles [14, p. 88], scellant son destin comme de nombreux ports antiques. Cette hypothèse est retenue sur plusieurs Atlas du monde antique en ligne dont j'ai regroupé les références dans cette page.
Le port de Corbilo est mentionné par Strabon (Géographie: Livre IV-II) et Polybe, fut abandonné au cours du IIe siècle avant J.C éliminant ainsi l'hypothèse que la baie de Penhoët fut le Portus Brivates [14, p. 113] où la flotte des Vénètes se serait cachée avant d'affronter la marine de Caius Julius Caesar commandée par Decimus Junius Brutus Albinus (voir Wikipedia). D'ailleurs Ptolémée au IIe siècle de notre ère (Géographie: Livre II) situe Portus Brivates à 0,1° (Livre II-8,1 - selon son système de latitude) à l'ouest de l'embouchure de la Loire (Livre II-7,2) et ne fait d'ailleurs aucune mention de Corbilo.
Si l'anse de Penhoët demeura longtemps après ces événements un havre pour quelques bateaux de faible tirant d'eau, elle ne pouvait plus cacher la flotte vénète aux yeux de Brutus. Mais cela n'engage que les nombreux historiens qui ont débattu du sujet comme G. Blanchard en 1883 [21], Kerviler en 1882 [22], R.Y. Creston en 1958 [23] ou Léon Maître en 1889 [6] qui voit ce port au Croisic.	(1883) Gustave Blanchard. "César sur les côtes Guérandaises"(...) (1882) René Kerviler. "Les Venètes, César et Brivates Portus"(...) (1958) René-Yves Creston. "César et les Vénètes : notes critiques sur la bataille navale livrée par Brutus contre les Vénètes en 56 av. J.C"(...)
Vestiges de l'Âge du Fer
Preuve d'un commerce actif à la période gauloise, on a trouvé sur la commune un statère d'or des Redones (Rennes) [7, p. 106, n°3][24, p. 79, pl. 40], une autre statère d'or sans origine [7, p. p 106, n°1] [25, p. 121, pl. III.1]. De même encore une statère d'or des Vénètes (Vannes) [7, p. p106, n°2], recueilli à Marsac au nord du canton, puis confirmé à Saint-André, commune limitrophe [26, p. 42, n°1] et enfin un quart de statère d'or trouvé aussi dans la région [26, p. 41, n°2].	(1878) Fortuné Parentau. "Inventaire Archéologique"(...) (1862) Fortuné Parentau. "Essai sur les monnaies des Namnêtes"(...) (1957) J.-B. Colbert de Beaulieu. "Notices de numismatique celtique"(...)
La fouille préventive réalisée lors de la construction de la nouvelle Cité Sanitaire [27] a permis de révéler des traces mince de fossés parcellaires et du mobilier dont une urne funéraire. Une future seconde tranche de travaux pourra amener à poursuivre des traces qui se développent vers celle-ci. Ce site semble occupé depuis le 1er Âge du Fer et perdure pendant l'époque Gallo-romaine. Une stèle commémorative est signalée route du Pré Hembert [16]. Dans la ZAC Coulvé-Québrais des fossés et du mobilier du 1er Âge du Fer ont été détectés [28].	(2008) Lionel Pirault. "Fouille préventive - Saint-Nazaire, Zac du Préambert"(...) (2012) Damien Séris, Roland Le Guévellou. "Fouille préventive - Saint-Nazaire, Zac de Coulvé-Québrais"(...)
Au bourg de l'Immaculée, Boyer à découvert en 1978 des fossés et des augets aux Millaux [16] de l'Âge du Fer.
Voie romaine et chemins
On peut penser que plusieurs chemins sont très anciens sur le territoire de la commune. Il est difficile de les reconnaître sur le terrain, car les rampes ont été adoucies, le plan de roulement élargi pour le passage des automobiles. Alors qu'au XIXe siècle, même si la surface de roulement avait été reprise de nombreuses fois, Léon Maître disait que les bordures de ces voies antiques restaient encore visibles [14, p. 97] là ou on n'avait pas rectifié les rampes. L'agrandissement de la ville au XIXe, sa reconstruction après la dernière guerre mondiale, les grands travaux d'aménagement routier au XXe et XXIe siècle ont quasiment effacé toutes traces.
Si certains chemins datent de la période gauloise, et ont été empierrés par les romains, l'axe principal a été construit par les romains. Il s'agit du grand chemin de Guérande à Nantes qui contourne les marais de la Brière par le sud en restant dans le nord de la commune, c'est l'actuelle route du Point du Jour.
Cette voie suit d'ouest en est d'abord la D47 puis la D213 en direction de Petite Savine où elle était encore très visible du temps de Léon Maître en 1889 [2, p. 260][14, p. 98], mentionnée aussi par René Kerviller en 1882 [22, p. 44]. Elle est encore indiquée sur le cadastre de 1854 [29] (Voir détails). Même si la D47 est une route moderne, son profil a été a peine modifié jusqu'au lieu-dit Cran Neuf [2, p. 260]. A ce carrefour qui est aujourd'hui un rond-point, un embranchement dévalait le plateau en direction du vicus de Novio Dunum.	(1854) "Plan cadastral des cantons de Saint-Nazaire et Guérande"(...)
Cet embranchement suit la route des Bassins de Guindreff puis la rue Jean Gutenberg. Au delà, on peut encore le suivre sur les cartes d'état major de 1820-1866 (Voir Géo Portail) par le Plessis [2, p. 260][30], ce qui correspond à la rue actuelle de Jules Guesde et la Ville-Aux-Fèves [2, p. 260] jusqu'au Prieuré [2, p. 260][30]. Ce prieuré s'est installé en 1079 au carrefour de trois chemins, l'un venant de Guérande que je viens de décrire, un autre venant de Pornichet par l'actuelle route de la Côte d'Amour et enfin le dernier venant de la pointe, le Petit Maroc actuel.	(1829) "Saint-Nazaire Cadastre ancien"(...)
La rue de Pornichet est un très vieux chemin, il a conservé son tracé inchangé après les travaux d'urbanisme du XIXe et la reconstruction après la Seconde Guerre Mondiale. Il franchit un ancien fossé qui mettait en communication le Grand Marais [31] avec la mer. Le marais et le fossé ont été comblés avec les ruines de la ville. Après avoir gravi une forte pente, le chemin suit la route de Vecquerie puis celle de la Côte d'Amour. Son tracé apparaît sur les cartes d'archives annotées du XIXe [29]. Ce chemin devait probablement relier les différents établissements ruraux comme en atteste la toponymie.	(1829) "Saint-Nazaire Cadastre ancien"(...)
Léon Maitre nous indique un autre chemin qui suit la route du Haut Rocher, et passe le carrefour de la Croix Henleix [2, p. 260][32, p. 119]. On retrouve son tracé par la route des Frechets et la rue Offenbach. Enfin un dernier chemin certainement très ancien relit Pornichet au quartier de Saint-Marc, la Basse-Voie [2, p. 261].	(1875) René Kerviler. "Note sur une villa gallo-romaine à Clis près Guérande"(...)

Travaux cités

Henri Quilgars. "La question des augets de terre découverts sur les côtes de la Bretagne armoricaine" - Bulletin de la Société Polymatique du Morbihan. vol. 10. no. 6. pp. 191-325. 1902. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
Léon Maître. "De l'emplacement de Grannona et des origines de Guérande" - Annales de la Société Académique de Nantes et du département de la Loire-Infèrieure. vol. 10. no. 6. pp. 247-285. 1889. Document disponible sur http://archive.org
Daniel Prigent. "Contribution à L'étude de la Transgression Flandrienne en Basse Loire - apport de L'archéologie" - Etudes préhistoriques et protohistoriques des Pays de la Loire. vol. 5. 1977. Bibliographie disponible sur http://books.google.fr
(2013) Auget à sel. Les oeuvres majeures du Musée Dobrée. Loire-Atlantique. (La Plaine-sur-Mer, La Tara, 150-10 av. J.-C.). Page web disponible sur http://grand-patrimoine.loire-atlantique.fr (Consulté le 07/02/2016)
Léon Maître. "De l'emplacement de Veneda et des origines de Saillé" - Annales de la Société Académique de Nantes et du département de la Loire-Infèrieure. vol. 10. no. 6. pp. 326-346. 1889. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
Léon Maître. "De l'emplacement de Portus Brivatus" - Annales de la Société Académique de Nantes et du département de la Loire-Infèrieure. vol. 10. no. 6. pp. 286-325. 1889. Document disponible sur http://archive.org
Pitre De L'Isle. "Dictionnaire Archéologique, Arrondissement de Saint-Nazaire, 2nd partie" - Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et Loire-Infèrieure. vol. 22. pp. 38-118. 1883. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
René Kerviler. "Séance du 12 décembre 1873" - Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et Loire-Infèrieure. vol. 12. pp. 117-125. 1873. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
René Kerviler. "Statistique des monuments dits préhistoriques, mégalithiques et gallo-romains, de la presqu'île guérandaise" - Bulletin Archéologique de l'Association bretonne, Session de Savenay. pp. 33-70. 1877. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
Léon Maître. "Saint-Nazaire sous Clovis - Congrès archéologique de France : séances générales " - Société française d'archéologie. pp. 412-416. 1887. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
Léon Maître. "La Conquête de la Basse-Loire par le réseau des voies romaines" - Bulletin de la Sociéte archéologique de Nantes et du département de la Loire-infèrieure. vol. 49. pp. 69-98. 1908. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
André Chédeville. "La Loire-Atlantique à l'époque gallo-romaine" - Archéologie en Bretagne. pp. 1-35. 1978. Bibliographie disponible sur http://koha.mom.fr
Louis Jacques Marie Bizeul. "Voie Romaine de Blain à Saint-Nazaire" - Annales de la Société Académique de Nantes et du département de la Loire-Infèrieure. vol. 16. no. 1. pp. 227-271. 1845. Document disponible sur http://books.google.fr
Léon Maître. "De l'emplacement de Corbilon et des origines de St-Nazaire" - Les villes disparues de la Loire-Inférieure. vol. I. pp. 87-118. 1893. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
Léon Maître. "Question De Géographie Ancienne" - Annales de la Société Académique de Nantes et du département de la Loire-Infèrieure. vol. 1. no. 7. pp. 349-375. 1890. Document disponible sur http://archive.org
(2013) Atlas culturel, atlas des patrimoines. Ministère de la culture et de la communication [Ed]. (Canton de Saint-Nazaire (44)). Carte interractive disponible sur http://atlas.patrimoines.culture.fr (Consulté le 07/02/2016)
René Kerviler. "L'Age De Bronze Et Les Gallo-Romains Saint-Nazaire-Sur-Loire" - Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et Loire-Infèrieure. vol. 15. pp. 287-316. 1876. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
Michelle Vieau. "Etudes du matériel archéologique du bassin de Penhoët" - Etudes préhistoriques et protohistoriques des Pays de Loire. vol. 6. 1982. Bibliographie disponible sur http://www.worldcat.org
(2013) Le chronomètre préhistorique de Saint-Nazaire. Travaux de recherche. Loire-Atlantique. Document disponible sur http://www.loire-atlantique.fr
Lionel Visset. (1990) 8000 ans en Brière. pp. 53. Ed. Ouest-France. (2737305322). Rennes. Document disponible sur http://www.latetedanslariviere.tv (Consulté le 07/02/2016)
Gustave Blanchard. "César sur les côtes Guérandaises" - Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et Loire-Infèrieure. vol. 22. pp. 119-171. 1883. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
René Kerviler. "Les Venètes, César et Brivates Portus" - Bulletin de la Sociéte archéologique de Nantes et du département de la Loire-infèrieure. vol. 21. pp. 5-46. 1882. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
René-Yves Creston. "César et les Vénètes : notes critiques sur la bataille navale livrée par Brutus contre les Vénètes en 56 av. J.C" - Annales de Bretagne. vol. 65. pp. 59-64. 1958. Document disponible sur http://www.persee.fr
Fortuné Parentau. "Inventaire Archéologique" - Nantes, Vincent Forest et Emile Grimaud. 1878. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
Fortuné Parentau. "Essai sur les monnaies des Namnêtes" - Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et Loire-Infèrieure. vol. 2. pp. 103-124. 1862. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr
J.-B. Colbert de Beaulieu. "Notices de numismatique celtique" - Annales de Bretagne. vol. 64. no. 1. pp. 24-45. 1957. Document disponible sur http://www.persee.fr - DOI: http://dx.doi.org/10.3406/abpo.1957.2016
Lionel Pirault. "Fouille préventive - Saint-Nazaire, Zac du Préambert" - . 2008. Bibliographie disponible sur http://dolia.inrap.fr
Damien Séris, Roland Le Guévellou. "Fouille préventive - Saint-Nazaire, Zac de Coulvé-Québrais" - . 2012. Bibliographie disponible sur http://dolia.inrap.fr
(1854) Plan cadastral des cantons de Saint-Nazaire et Guérande. Fonds d'archives numérisées. Loire-Atlantique. (s.d. [1854] Guérande Saint-Nazaire 1 Fi Loire-Atlantique 15 / 38). Image disponible sur http://www.loire-atlantique.fr (Consulté le 07/02/2016)
(1829) Saint-Nazaire Cadastre ancien. Fonds d'archives numérisées. Loire-Atlantique. (Cadastre ancien C2 Ville (section de)). Image disponible sur http://www.loire-atlantique.fr (Consulté le 07/02/2016)
(1829) Saint-Nazaire Cadastre ancien. Fonds d'archives numérisées. Loire-Atlantique. (Cadastre ancien D3 Sable (section de)). Image disponible sur http://www.loire-atlantique.fr (Consulté le 07/02/2016)
René Kerviler. "Note sur une villa gallo-romaine à Clis près Guérande" - Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et Loire-Infèrieure. vol. 14. pp. 115-121. 1875. Document disponible sur http://gallica.bnf.fr

Biliographie

Patrice Brun. L'âge du fer en France : premières villes, premiers états celtiques. Paris: La Découverte. 2008. ISBN: 9782707156648

Jean-Louis Brunaux. Voyage en Gaule. Paris: Du Seuil. 2011. pp. 300. ISBN: 9782020943123

Raymond Chevallier. Les Voies romaines. Paris: Librairie Armand Colin. 1972. pp. 313. sudoc: 002070316

Gérard Coulon. Les Voies romaines en Gaule. Paris: Editions Errance. 2009. pp. 235. ISBN: 9782877723862

Jean Yves Eveillard. L'Armorique antique. Morlaix: Skol Vreizh. 2013. pp. 160. ISBN: 9782915623994

Gilles Garidel. Les Gallo-romains. Louviers: Ysec. 2013. pp. 159. ISBN: 9782846731775

Stéphane Gendron. La toponymie des voies romaines et médiévales : les mots des routes anciennes. Paris: Editions Errance. 2006. pp. 196. ISBN: 2877723321

Yves Menez. Fouilles et découvertes en Bretagne. Rennes Paris: Edition Ouest-France Inrap. 2010. pp. 143. ISBN: 9782737350740

Martial Monteil, Laurence Tranoy. La France gallo-romaine. Paris: La Découverte. 2008. pp. 180. ISBN: 9782707154385

Eugène Orieux. Histoire et géographie de la Loire-Inférieure. Nantes: E. Grimaud. 1895. sudoc: 096310863

Michel Provost. Carte Archéologique de la Gaulle : 44 / La Loire-Atlantique. Paris: Académie des Inscriptions et Belles-Lettres. 1988. pp. 177. ISBN: 2877540014

Aude Richard. Nos ancêtres gallo-romains. Louviers: Ysec. 2012. pp. 112. ISBN: 2846731306

Illustrations

Figure 1 - Inventaire archéologique du canton de Saint-Nazaire (44)

	Carte:	https://www.google.com/maps/d/embed?mid=z2w_Nl6HhcGc.kgkg4WR4U55g	Lien vers Google-Maps
	KML:	https://storage.canalblog.com/46/09/1158771/108673892.kml	Fichier à ouvrir dans Google-Earth, 3K

Posté par kriesgraf à 14:27 - Commentaires […] - Permalien [#]

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